Notre histoire
AFPAP
Les ARCHIVES PRIVEES, héritage des générations qui nous ont précédés, forment le lien avec notre passé familial, historique, culturel, économique…
Ces archives sont :
- FAMILIALES : correspondances, contrats de mariage, testaments, livres de comptes, actes d’achats et de ventes, mémoires…
- PERSONNELLES ET PROFESSIONNELLES : archives d’érudits, artistes, architectes, ecclésiastiques, écrivains, scientifiques, hommes politiques …
- D’ENTREPRISES OU D’ORGANISMES PRIVES : procédés et savoir-faire, relations avec clients et fournisseurs, gestion de personnel, activités…
Quel que soit leur volume (même quelques liasses ou dossiers), CES ARCHIVES FONT PARTIE DE NOTRE PATRIMOINE.
Qui sommes-nous ?
Association Française pour la Protection des Archives Privées
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A l’heure où certains héritiers refusent la charge des propriétés dites de famille, presque soulagés qu’ils sont parfois de voir dispersé aux quatre vents tout leur contenu, un contenu dont l’existence semble les fatiguer d’emblée car ils ne connaissent même plus leur histoire, il est plus que temps de sauvegarder les archives.
Qu’ils soient historiques, familiaux, forestiers, agricoles, militaires, architecturaux, diplomatiques, industriels, photographiques, … ces documents, dont la lecture ou l’observation attentive permet de tout comprendre & surtout de remonter aisément dans le passé, un passé tantôt glorieux tantôt misérable certes, conduit en général ceux qui veulent bien commencer de l’explorer, à abandonner sagement l’arrogance du haut de laquelle d’aucuns se croient autorisés à juger, hors de tout contexte, ceux qui les ont précédés. C’est déjà l’immense mérite qu’il convient d’accorder à ce que l’ignorance considère comme fatras poussiéreux.
Les lois agricoles promulguées dans l’après-guerre ont eu raison des grands domaines fonciers, conduisant ces derniers à l’émiettement, lequel a, en même temps, fait voler en éclats la mémoire des lieux.
Les droits de succession ou d’inintelligents partages ont souvent provoqué la vente précipitée & en bloc de meubles & d’objets qui, lorsqu’ils ne cohabitent plus, perdent évidemment tout leur sens. Tel méchant portrait devenu anonyme, pendu aux cimaises du marché aux puces, vient de se voir dépouillé du seul intérêt qu’on pouvait lui accorder lorsqu’il était encore conservé dans la maison autrefois habitée, voire édifiée, par son modèle. Tel nécessaire de voyage, en loupe & vermeil, privé de la facture qu’il abritait, un précieux document que l’artisan avait autrefois présenté à son commanditaire, n’est plus qu’un objet raffiné, inutile & devenu simplement décoratif. S’il est vendu, tel service à joli monogramme, demeuré exposé pendant deux siècles dans une salle-à-manger de province où sa présence rappelait aux uns & aux autres le souvenir de ceux qui en usaient autrefois quotidiennement, sombre alors dans un oubli d’où il ne sortira plus jamais.
Car la destruction de mémoire est rarement rétroactive… Une bibliothèque dispersée, fait s’évaporer définitivement l’esprit qui avait animé celui qui l’avait constituée. Les ensembles de livres sont l’exact reflet des goûts du bibliophile. Coupez-la en morceaux & le lien qui présidait à leur ordonnancement s’envole aussitôt. Il en est de même pour les archives dont le moindre déclassement fait disparaître une mine de renseignements, comme le pillage de certains prestigieux autographes, objets facilement commercialisables, mais dont l’extraction si hautement condamnable rend la compréhension de tel ou tel dossier tellement ardue que le chercheur moderne n’en pourra plus jamais déchiffrer le véritable sens.
Non, on le comprend, les archives doivent être ordonnées, soigneusement conservées dans leur intégrité, mais aussi protégées de la destruction du feu, des champignons d’humidité, de la dent des animaux, des vols & autres déprédation de nos semblables. Et encore, tout cela n’aurait servi à rien si elles nous restaient illisibles ou inaccessibles. Pour servir à quelque chose, les fonds doivent être décryptés, inventoriés & ouverts aux chercheurs… On le voit, le chemin d’accès à la mémoire est semé d’embuches.
C’est le rôle de l’Association Française pour la Protection des Archives Privées que d’éclairer les détenteurs de ces inestimables fardeaux qui sont aussi des trésors, ces liasses au début paralysantes, mais dont l’étude approfondie devient libératrice pour ces derniers, comme peut l’être une psychanalyse pour le patient… Notre association peut donc aider utilement tous ceux qui, non seulement s’intéressent à leurs archives, mais sont évidemment soucieux de leur accessibilité certes, & aussi de leur transmission, une transmission qui reste, bien sûr, le fondement même de l’existence de ce patrimoine, véhicule infiniment fragile méritant d’autant plus de soins.
François-Louis a’Weng
Président
Témoignage
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Polycarpe de Saint-Mauris, le modèle du marquis de La Mole fait oeuvre de mémoire sous Louis-Philippe
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